[... Extrait de l'article ...] Malgré du renfort venu de Paris, Bordeaux ou Montpellier, les experts toulousains sont saturés. Pour gagner du temps, un des cabinets a décidé de ne plus répondre au téléphone l'après-midi. Alain Fabre, lui, travaille sans discontinuer, de tôt le matin à tard le soir, depuis le 21 septembre. Il a plusieurs explications à la lenteur ambiante. « Personne n'a pris conscience de l'ampleur du sinistre. Il y a 25.000 logements touchés, alors qu'on n'en construit que 250.000 par an en France. On ne peut pas laisser croire aux gens que tout sera réglé en deux mois », rappelle t-il en préambule. Sur le terrain, à raison d'une dizaine de visites d'une heure par jour (suivies de deux à trois heures de rapport pour une moyenne de 150.000 F de dégâts [...]
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